Il y a plusieurs années un drame familial, le décès de mon fils, a plongé ma famille dans la souffrance. Cependant la vie a mis sur mon chemin des personnes aptes à m’aider à me sortir de cette détresse. Cela m’a permis de retrouver le gout puis la joie de vivre, me conduisant sur mon chemin spirituel. Suite à la « demande » de mon fils, je vais vous raconter mes expériences vécues depuis son décès.
Pour cela nous allons revenir 20 ans en arrière.
Demain, j’aurais 40 ans, ma filles ainée et mon gendre m’ont fait la surprise de venir pour mon anniversaire. 800 km nous sépare donc je suis heureuse de les voir car mes autres enfants sont bloqués par leur travail. Cependant depuis ce matin, j’ai une chanson dans la tête » mon amie la rose ». Cela m’étonne car je ne connais pas spécialement cette chanson, mais je fredonne en boucle
ces quelques paroles « on est bien peu de chose et mon amie la rose va mourir ce matin ». Même si ces paroles me mettent mal à l’aise, je n’y fais pas cas, étant dans la joie de ce week-end. On en profite pour rendre visite à ma sœur et déjeuner ensemble lorsque soudain vers midi la chanson s’arrête, je dois reconnaitre que je suis soulagée car je n’aime vraiment pas cette chanson, elle me met mal à l’aise.
Nous passons un bon moment en famille lorsque je vois mon gendre s’approcher de mon mari et lui parler à l’oreille. A leur manière de se comporter, je sens qu’il se passe quelque chose. Mon mari me prend alors dans ses bras et soudain ma vie bascule. Mon fils a eu un accident et est décédé. Nous sommes tous sous le choc et envahis d’une détresse indéfinissable.
Cependant nous décidons de prendre la route au plus vite car mon fils habite chez ma mère à 8 h de là. Je n’arrive pas à arrêter de pleurer, c’est plus fort que moi, nous sommes tellement anéantis. A notre arrivée, je n’ai qu’une envie, aller dans la chambre de mon fils, sentir son odeur, me blottir sur son lit et pleurer. Je compose en boucle son numéro de téléphone juste pour entendre sa voix sur son répondeur. Mes deux filles me rejoignent et nous restons là blottis sur son lit avec notre douleur.
Je ne veux voir personne même pas mes amis proches, je n’ai pas envie d’entendre leurs mots de réconfort dit avec plein de gentillesse mais si maladroits, comment peuvent-ils imaginer ce que nous ressentons, comment peuvent-ils me dire que j’ai de la chance qu’il me reste deux filles. J’ai juste envie de leur hurler de se taire, de nous laisser tranquille et de rentrer chez eux.
Puis vient le moment de se rendre au funérarium pour s’occuper de l’enterrement. Je n’ai pas le courage de m’en occuper, comment une mère peut-elle choisir un cercueil pour son enfant. Heureusement mes deux filles me soulagent de cela et du déroulement de L’enterrement fixé dans 3 jour. Ludo est installé dans une salle au funérarium, ce qui fait que je peux le voir, le toucher, l’embrasser tous les jours et cela me fait du bien. C’est étonnant comme réaction mais c’est la seule réalité que j’ai à ce moment présent. Car dans mon esprit, il est toujours là.
Nous voilà le jour de l’enterrement. La messe, les condoléances et le cortège jusqu’au cimetière. Nous sommes, mes filles et moi, en tête de la procession et soudain nous nous rappelons au même moment une moquerie de Ludo qu’il nous disait lorsque nous regardions le films « ghost » et que nous pleurions … « c’a y est, elles sont encore en train de chialer » et soudain on se met à sourire. Le reste de la journée est plus léger, nous le passons entourés de notre famille.
Nous restons quelques jours chez ma mère, cependant il est temps de rentrer chez nous. C’est en arrivant à la maison que différents phénomènes commencent à se passer, la lumière vacille sans cesse puis dans la semaine qui suit, la machine à laver, le frigo et le congélateur tombe en panne. Un matin, ma mère m’appelle pour me dire quelle a retrouvé une clé plate sur sa table de salon. Seul Ludo, qui venait de passer son cap de mécanicien, s’en servait.
Cependant je suis tellement désespérée que je ne vois pas ces évènements comme des signes. Ce n’est qu’avec le recul que je comprends que j’ai été prévenue avec la chanson « au nom de la rose », que c’est Ludo qui nous a fait penser au film « ghost » pour nous soulager, et que c’est lui qui se manifeste de différentes manières.
Mais pour le moment, je suis trop triste, je ne peux rien voir car je suis enfermée dans ma douleur. Je ne peux même pas aider mes propres enfants à surmonter cette perte qui est également dévastatrice pour elles. C’est également à ce moment que je vais commencer à entendre la chanson de Francis lalanne « on se retrouvera ». Cette chanson me donne tellement d’espoir et arrive tellement à point nommé. Cependant au fond de moi s’installe petit à petit la culpabilisation, et si j’avais été là, cela ne se serait pas produit et si et si et si. J’en arrive même à penser que je suis une mauvaise mère, surtout que depuis le décès de Ludo, j’ai des trous de mémoire qui m’empêche de me souvenir des bons moments passés ensemble, ce qui engendre une anxiété d’oublier mon fils. Dépressive, je reste chez moi et ne laisse sortir ma douleur que lorsque je suis seule, heureusement dans ces moments difficiles, ma cousine m’appelle pour me réconforter. Le temps passe. Je refuse toujours de sortir chez des amis, ayant l’impression de trahir la mémoire de mon fils si je ressentais un peu de joie. De plus, lorsque je vois les enfants de mes amis de l’âge de Ludo, je ne peux m’empêcher de penser « pourquoi lui, et pas eux, il était si gentil » et du coup je culpabilise encore plus de penser cela.
Puis le jour de la fête des mères, un coup de téléphone va me chambouler, je décroche le téléphone et entends une voie pratiquement inaudible me dire « je t’aime ». Je n’en ai jamais parlé à personne mais, au fond de moi, je sais que c’était Ludo. Comme je sais que c’est lui qui communique avec moi grâce à la chanson « on se retrouvera » que c’est lui qui donne l’impulsion à ma cousine de m’appeler lorsque je vais mal.
Un an est passé et je ne le sais pas encore mais la vie va me faire un cadeau, ma fille ainée accouche d’une petite fille et la première fois ou je la prends dans mes bras, je ressens tellement d’amour que c’est comme si une once de vie revenait en Moi.
Au fils du temps et des années, La douleur s’atténue, même si le manque est toujours là. Puis un jour, je ne sais pour quelle raison je me remets à chantonner et cela me fait sourire car avant le décès de Ludo je chantonnais tout le temps et soudain j’ai un flash, je vois Ludo danser et rire. C’est à ce moment-là que je vais comprendre qu’il est heureux de nous voir heureux.
C’est alors que tout s’enchaine. Je change de travaille, j’ouvre un institut de beauté et lors d’un soin, une cliente me parle d’un stage de reiki qu’elle vient de suivre et me décrit un jeune homme à côté de moi qui correspond à mon fils. Heureuse de le savoir près de moi, Je me demande alors si c’est le Reiki qui lui a ouvert cette faculté de voir les défunts et décide donc de me former au Reiki sui.
Puis lors d’un soin de réflexologie plantaire, une autre cliente qui est medium, me dit également voir un jeune homme à cote de moi. Plus tard, étant devenue une amie, elle m’apportera du réconfort en me rapportant des messages de Ludo.
Et c’est ainsi que Lors d’un Week end passé chez une amie, Je suis réveillée par des pas, je tends l’oreille puis plus rien, je me demande si je n’ai pas rêvé. J’en parle donc à mon amie medium et elle demande qui était là ce soir-là. Ludo lui répond que c’était lui et elle demande pourquoi je l’ai entendu, il répond « à cause du parquet ». Effectivement l’étage où se trouve les chambres est en parquet et il fait du bruit lorsque l’on marche. Mon amie ne pouvait pas le savoir et diriger la réponse. Ce qui me conforte encore plus dans le fait qu’il est toujours à mes côtés.
Au détour d’une conversation, elle me dit de ne pas m’inquiéter car il restera jusqu’à ce que j’aille mieux. Cependant, comme je ne veux pas qu’il s’en aille, au lieu de me réconforter, cela va m’empêcher pendant un moment de faire mon deuil. Ce n’est que plusieurs mois, lors d’un stage chez serge Boutboul, que je comprends et à accepte que lui aussi a son chemin à faire mais qu’il est néanmoins toujours là.
Passionnée par les thérapies alternatives, j’enchaîne avec ma fille cadette des formations en kinésiologie puis en lithothérapie, en massage thérapeutique, hypnose, et bien d’autre.
D’ailleurs, tout va vraiment s’accélérer lors d’une formation de lithothérapie. Lors du premier soin, je ressens des énergies autour de moi et soudain je ressens que je commence à sortir de mon corps et cela me fait peur. Du coup rien ne se passe. J’y pense toute la soirée et regrette d’avoir eu cette réaction. Du coup le lendemain, lors d’un autre soin, cette fois ci avec des cristaux de roche, soudain, je ressens à nouveau des énergies, je sais qu’il s’agit de mon fils et de mon père (je dis l’énergie car je ne les vois pas mais je sais que c’est eux) et soudain je sors de mon corps, je les suis et me retrouve dans une dimension sans forme précise mais extrêmement lumineuse ou je ressens un amour profond, indéfinissable. Je suis si bien dans ce lieu, je sais que je suis entourée de plein de personne mais en même temps nous sommes la même énergie. C’est tellement agréable, je ne veux pas revenir à la réalité, je veux rester là. Mon corps se met à pleurer de plus en plus et la formatrice voyant qu’il se passe quelque chose, me secoue ce qui me fais revenir.
D’autres stages s’enchainent, jusqu’au jour où nous faisons un stage de medium. Nous nous retrouvons dans un château avec une vingtaine d’autres personnes et vivons cela comme des retrouvailles. La connexion entre nous est tellement forte et fluide. C’est impressionnant de ressentir cela pour des personnes « inconnues ». Nous y apprenons entre autres choses l’écriture automatique et expérimentons le souvenir de nos vies antérieures.
Nous passons un Week end fabuleux et c’est le début de grandes amitiés.
Rentrée chez moi, Je m’essaye seule à l’écriture automatique pour communiquer avec mon fils. Tout se passe bien et en relisant ma canalisation, qui est pourtant pleine d’amour, je me dis « c’est des conneries, tout ça, j’écris que ce que je veux entendre ».
Seulement c’a ne va pas s’arrêter là. Une heure plus tard, une amie de ce stage de médium m’appelle et me dis, c’est un rigolo ton fils, il vient dans ma cuisine et me dis de te dire « que ce n’est pas des conneries ». Je pense que tu vas comprendre son message parce qu’il ne m’a rien dit d’autre.
Je prends donc confiance en moi et l’écriture automatique me permet au fils du temps, de communiquer avec mon fils puis avec mes guides. Ce qui me frappe un jour, ou je les canalise à la suite, est que l’écriture change que je parle avec l’un ou l’autre.
Suite à un Week end repassé avec ce groupe d’amis, Je fais à nouveau une sortie de corps dans laquelle je suis entourée de plusieurs personnes que je connais dans ma vie actuelle et nous déterminons le rôle que chacun aurait dans ma vie présente. Tous ces rôles sont déterminés en accord et par amour. Nous décidons que Ludo serait mon fils et qu’il décèderait jeune, je l’entends me dire « je partirais pour que tu reviennes vers nous ». Bien sûr je ne vous parle que du rôle de Ludo qui est essentiel dans ce récit. C’est alors que je comprends que les personnes que je considère comme des ennemis avaient jouer ce rôle pour me faire avancer et surtout que le décès de mon fils était prévu pour que je m’ouvre à la dimension spirituelle, « que je revienne à eux ».
Cependant à cette époque-là, j’avais toujours des doutes, il me fallait toujours plus de preuves.
L’univers s’en est chargé. Le père de Ludo a été hospitalisé d’urgence suite à un problème médical et il a été plongé dans le coma. Avec ma fille cadette, nous lui avons fait des soins énergétiques à distance et d’autres en présentiel, un ami nous a même guidé pour un soin d’acuponcture énergétique. Et un jour, subitement, je refais une sortie de corps. Je me retrouve sur une plage avec le père de Ludo assis sur un rocher et notre fils qui lui explique qu’il est heureux et lui fais ressentir tout cet amour qui l’entoure, son père ne voulant pas revenir à la réalité, c’est Ludo qui le ramène. Une autre fois, il est resté 4 semaines dans le coma, je me retrouve encore sur cette plage et son rocher avec le père de Ludo et notre fils qui lui fait encore ressentir tout l’amour et la joie qui nous entoure. Et soudain, apaisé, son père décide de rentrer de lui-même et simultanément il sort du coma.
Je pense que nous avons vécu cette expérience pour que le père de Ludo sache que son fils va bien, que la mort n’est pas une fin et pour que nous comprenions que nous n’avons pas de limite dans ce que nous pouvons faire, sauf celles que nous nous mettons. Je me dois de vous dire que je ne contrôle pas ces sorties de corps que cela se fait sans demande de ma part.
Avec le recul, j’ai pris conscience que tous ces stages m’ont apporté des solutions, ils m’ont aidé à comprendre mes blessures ainsi que ma façon de réagir à certaines situations et à certaines personnes, me permettant de me libérer de fardeau que je transportais depuis longtemps, même de certain ne m’appartement pas. Le reiki m’a enseigné un art de vivre par ces préceptes et m’a ouvert à la dimension spirituelle, la kinésiologie m’a permis la compréhension du comportement inconscient de l ’être humain, la lithothérapie m’a démontré le pouvoir de guérison des pierres sur l’harmonisation du corps et de l’esprit me permettant de faire face plus sereinement aux aléas de la vie et l’imaginologie m’a ouvert la porte à d’innombrables possibilités me permettant d’innover et de créer ma vie.
Tout ce vécu m’a ouvert à une nouvelle vision du monde. Depuis je me laisse guider par les coïncidences qui n’ont sont pas, voyant les défis comme des expériences surmontables en ayant fois en la vie, en l’univers. Et plus j’avance sur le chemin de ma vie, plus tout cela devient une évidence. Je sais maintenant que je suis responsable de tout ce qui m’arrive car cela est le reflet de ce que j’ai décidé vouloir vivre sur terre mais également de mon état d’esprit qui est coloré par mes croyances les plus profondes. J’ai également compris que nos défunts sont heureux de nous voir heureux et qu’ils sont toujours là lorsque nous avons besoin de leur présence même s’ils ont également leur propre chemin. Aujourd’hui, je communique avec mon fils sans écriture automatique, je le ressens, je ressens son amour.
Ma plus grande frustration est que je ne le vois pas, ce qui va m’amener à une autre formation.
Le jour de l’anniversaire de mon fils, qui est toujours une date compliquée comme noël et la fête des mères, j’ouvre facebook et je tombe sur une publicité pour un stage à côté de chez moi « Comment se connecter au défunt », cependant je n’y prête pas attention. Seulement, le lendemain, ma fille cadette me renvoie la même publication. Sachant qu’il n’y a pas de hasard, je m’inscris. Lors de cet échange, Les heures passent et je me dis que j’ai perdu mon temps car la formatrice nous parle de techniques que j’ai déjà expérimenté dans d’autres stages cependant je sais que je suis venu pour une raison spéciale, mais laquelle ? Puis elle nous propose de canaliser nos défunts. Mon tour venu, elle me dit voir un jeune homme qui me regarde avec un amour indescriptible. Il lui dit que de le voir n’est pas le plus important pour moi car je l’entends et le ressens. Puis il veut me prendre les mains. Comme il insiste, elle se met devant moi et commence à me secouer les mains en me disant «. Quand est-ce que tu vas te réveiller, Maman raconte leur ton deuil ». Je lui demande pourquoi et comment je dois raconter mon deuil. Ludo répond « pour leur donner de l’espoir » et que je peux intervenir dans des groupes de paroles sur le deuil ou écrire mon histoire, qu’il sera toujours près de moi lors de ces moments-là, et il est vrai que je le ressens au moment où j’écris ce récit.
Pour en revenir au fait que je ne vois pas physiquement mon fils, depuis, je me suis rappelée qu’enfant, je voyais une femme dans ma chambre et cela m’effrayait. Je n’en parlais pas car j’avais peur que l’on me prenne pour une folle. Je pense donc que cela à engendrer un traumatisme et bloque les visions. Il va falloir que je travaille dessus !!! je vais demander à Laetitia de me faire une séance d’imaginologie pour lever ce blocage.
Voilà pourquoi Je vous ai raconté ce que j’ai vécu. A travers notre histoire, Ludo veut vous faire prendre conscience que la mort n’est pas une fin, que s’est plus compliqué de voir les signes que nous envoient nos défunts lorsque la douleur est trop présente et que de retrouver la joie de vivre ne doit pas nous faire culpabiliser en pensant trahir nos défunts. Que nous pouvons accepter de vivre d’une autre manière avec eux car ils sont toujours là, juste de l’autre côté du voile, que nous pouvons les ressentir, les entendre à partir du moment où nous prenons confiance en nos ressentis. Qu’ils sont heureux de notre bonheur retrouvé et que lorsque nous nous laissons guider et avons foi en la vie, tout est possible. Je sais que ce que j’ai vécu est à la porter de chacun.
Chacun vie son deuil à sa façon et à son rythme, il n’y a pas de règle, pas de temps. Cependant plus vite nous nous recentrons sur l’amour qui nous unit à nos défunts, plus vite nous retrouvons la sérénité et pouvons ainsi nous ouvrir à une autre dimension en retrouvant la joie de vivre.
Ce drame familial fut une réelle prise de conscience pour moi, m’amenant à opérer des changements dans ma vie de tous les jours, me permettant de dépasser mes croyances et de retrouver la paix dans mon cœur.
Avec tout notre amour…….Ludo et Nadine.
Je vous joins ci-dessous une canalisation de Ludo du 26 janvier 2024
Ma maman chérie,
Je suis toujours heureux de parler avec toi. Je suis si fier de toi. Tu as réussi à dépasser ta peine et à écrire ton histoire. Tu l’as compris cela est nécessaire pour faire comprendre aux plus grands nombres de personnes que la mort n’est pas une fin comme certains l’entendent mais un prolongement de l’existence de notre âme dans d’autres dimensions.
Tous ce que ma mère a écrit, nous lui avons fait vivre pour qu’elle se rappelle que la vie n’est qu’une illusion ou chacun joue un rôle bien précis dont le but ultime est de reconnaitre l’être spirituel, multidimensionnel et illimité qu’il est, que vous êtes tous, en reconnaissant l’unité dans chaque chose.
Ne vous limitez donc pas en restant dans votre peine. Aimer, chanter, danser car vous avez la chance d’expérimenter la vie sur terre. Sachez que vous ne pouvez traverser que des expériences que vous pouvez supporter et que vous avez choisi, desquelles vous en sortirez grandis. Nous sommes toujours près de vous, juste de l’autre côté du voile, à vous aimer. Il est temps de vous ouvrir à cette merveilleuse réalité de l’univers.
Avec tout mon amour, Ludo
Merci de partager ce récit du 26 janvier 2024 dans son intégralité.
Nadine GILLES